Rechercher dans ce blog

samedi 23 septembre 2017

21 octobre 2017 - Agriculture ? Pourquoi rien ne change ?



L'agriculture (du latin agricultura, composé à partir de ager, champ et colere, cultiver) est un processus par lequel les êtres humains aménagent leurs écosystèmes et contrôlent le cycle biologique d'espèces domestiquées, dans le but de produire des aliments et d'autres ressources utiles à leurs sociétés.(Wiki)

Et si contrairement à ce que nous lisons partout l'agriculture ne changeait pas vraiment:
Aquaponie, robots, permaculture et si même le bio industriel vendu par les supermarchés, venu souvent de pays lointains n'étaient pas un changement effectif et si l'agriculture continuait à détruire la terre et l'homme?

Alors pourquoi l'agriculture ne change pas !



Le bio

L'agriculture aujourd'hui : Les Robots



La Permaculture



Aquaponie



jeudi 7 septembre 2017

23 septembre 2017 - Pourquoi la violence conjugale ?

- À l'époque de la Rome antique, par exemple, un mari avait droit de vie ou de mort sur son épouse, comme sur ses esclaves.
- OK ... Mais c'était il y à 2000 ans et justement en France par exemple il n'y a plus trop d'esclaves !


La violence, ses mécanismes, ses pièges tout est bien décrit dans le document d'étude par Délégation Régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité d’Ile-de-France .... 
Mais nous au club ce qui nous anime c'est Pourquoi ! Pourquoi cette violence .....
Nous sommes ainsi les seuls parmi les espèces où les mâles tuent les femelles. Ce n’est donc pas une question de bestialité, de nature, et parce que ce n’est qu’une question de pensée, de culture, de construction mentale, nous pouvons penser que la lutte peut changer cet état de fait.


Pourquoi la violence faite aux femmes:


Alors que des hommes cèdent à leurs "pulsions irrépressibles et licites" selon Françoise Héritier, ce sont les femmes qui subissent la honte, la souillure et le déshonneur qui s'étend aux leurs. Quels sont les redoutables mécanismes de la violence faite aux femmes ?


Selon http://www.appel-arlon.net/telech/SSMG_01.pdf

C'est la conjugaison de certains facteurs individuels, familiaux et environnementaux qui augmente le risque d'exposition ou de recours aux violences. Il ne s'agit pas ici d'établir un lien causal direct entre ces facteurs et les violences, mais bien d'éveiller une vigilance lors de l'observation de ces facteurs.
Individuels :

  • Jeune âge (classe d’âge 20 à 25 ans 36)  
  • Consommation abusive d'alcool 
  • Troubles de la personnalité (perversion…) 
  • Grossesse 
  • Faible revenu 


Familiaux, environnementaux :

  • Séparation, conflit conjugal 
  • Chômage, perte d'emploi, échec au travail 
  • Antécédents de violences familiales vécues dans l'enfance 
  • Valeurs sociales propices aux violences 
  • Représentations traditionnelles quant aux rôles des deux sexes

Wikipédia:

Psychologie 

Des agresseurs 

Les recherches sur les profils psychologiques des agresseurs  montrent qu'ils sont associés à une exposition précoce à des modèles comportementaux violents, les agresseurs ayant tendance à reproduire la violence dont ils ont été les victimes ou les témoins entre leurs parents durant l'enfance Ensuite, le profil des agresseurs est associé à des traits de personnalité pathologiques dans les trois clusters . De façon intéressante, également, ces recherches montrent que le profil des femmes qui agressent diffère très peu du profil des hommes agresseurs. Ces résultats remettent en question le « paradigme des genres »  qui suppose une dissymétrie importante entre le profil des agresseurs masculins et le profil des agresseurs féminins.
Au-delà du simple diagnostic, certains traits et caractéristiques psychologiques des partenaires ou de la relation de couple se révèlent être des prédicteurs fiables de violence. Ainsi, des traits tels que la jalousie pathologique , l'absence d'empathie , la difficulté à régulariser l'expression de son agressivité ou un profil d'attachement insécurisant   sont fortement corrélées à une augmentation du risque de violence dans le couple. Il en va de même pour les modèles de communication défectueux entre les partenaires et, de façon plus générale, l'insatisfaction de couple.


Commentaires bien venus 

"Battre la femme était dans le but d'éduquer la femme"


John frappe Mary !

Une approche multifactorielle de la violence conjugaleParSteven Bélanger, psychologue,coordonnateur clinique

"Il est généralement reconnu que des facteurs socio-politiques reliés à la structure patriarcale de la société tels que le système de valeurs sociales et culturelles véhiculées dans les familles, dans les différentes institutions, dans les médias, de même que certaines croyances, préjugés et mythes qui soutiennent un degré appréciable d'acceptation sociale de la violence dans un contexte conjugal, jouent un rôle important dans l'existence et la perpétuation du phénomène de la violence conjugale. Par ailleurs, plusieurs recherches démontrent qu'une proportion considérable d'hommes ayant recours à la violence envers leur conjointe auraient euxmêmes vécu de la violence dans leur famille d'origine. Ils auraient été témoins de violence dans le couple parental ou été eux-mêmes victimes de violence de la part de l'un ou l'autre des parents, parfois des deux. ..."

Pourquoi la violence ?
 




Violences conjugales et attachement

Un commentaire d'un Interne en Psychiatrie 


« Chaque année, 216 000 femmes âgées de 18 à 75 ans sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime » (Andro A. et Lesclingand M., Les mutilations sexuelles féminines, in Population & sociétés, n°438, INED, octobre 2007, Chiffres clés 2012, l’égalité entre les femmes et les hommes.)

Le phénomène des violences conjugales, et principalement des violences faites aux femmes, peut être abordé sous de nombreux prismes : social, historique, statistique, législatif, économique, philosophique, pour ne citer que ceux-là. L’objet de cette note sera d’aborder ce phénomène à l’aune d’une conception psychologique des relations humaines, la théorie de l’attachement.

Un phénomène, qu'il soit physique, institutionnel, social… peut être symbolisé comme un symptôme. Un symptôme n’est pas une maladie et ce n’est pas une étiologie. Un symptôme c’est la traduction visible, ressentie, d’un dysfonctionnement. Un symptôme peut avoir plusieurs causes. Un exemple concret : une douleur abdominale n’est pas toujours l’expression d’une appendicite. Parfois c’est le signe d’une gastro-entérite, parfois d’un cancer colorectal. Parfois encore, c'est un signe d’angoisse.

Le phénomène des violences conjugales est le symptôme d’un dysfonctionnement au sein d'un système. Ce système c'est le couple. On pourrait exprimer ces violences comme la traduction visible d’une maladie de la relation romantique. Sans que le symptôme, c’est à dire la violence, ne permette de préjuger à première vue de la maladie en cause. Ainsi, il est bon de définir le système dysfonctionnel : qu’est-ce qu’un couple ? Et de définir le symptôme : qu’est-ce que la violence ? Alors seulement, il est possible de réfléchir au chaînon manquant : quel est ce dysfonctionnement, cette maladie, (ou quelles sont-elles ?) qui agite le couple au point de produire le symptôme, le passage à l’acte hétéro-agressif ?


« Couple » peut se définir selon le Littré comme : « Lien pour attacher ensemble deux ou plusieurs choses pareilles » s’il est pris au féminin « une couple » (étymologiquement au féminin). « Un couple », en revanche, se définit comme : « Le mari et la femme, l'amant et l'amante, ou deux personnes vivant ensemble dans des relations d'amitié ou d'intérêt ». La première définition insiste sur l’origine étymologique du mot, comme le lien unissant deux personnes. L’extension s’est faite par métonymie pour désigner les objets de ce lien, ici les amoureux.

Ce qui caractérise le lien du couple est donc une relation « d’amitié ou d’intérêt ». Pour des facilités de démonstrations la relation amicale n’est pas en jeu dans cet exposé. Ceci étant dit, il est bien évident qu’une complicité amicale peut se retrouver au sein d’une relation romantique. Ainsi, on sépare artificiellement la relation amicale et la relation romantique. La relation romantique est donc caractérisé par un lien « d’intérêt ».  Ce terme a priori péjoratif prend pourtant bien tout son sens dans le cas présent : chaque personne au sein d’un couple possède des attentes et des besoins vis à vis de l’autre. Il arrive que ces besoins et ces attentes divergent, et que la communication s’en trouve compliquée, menant au conflit. Ce sera le point d’ancrage de la théorie de l’attachement pour expliquer les dissensions au sein du couple.

Sans se livrer ici à une analyse phénoménologique de la violence, il convient de fixer les termes de violence, d’agressivité et d’agression. « Violence » est définie dans le Littré par « qualité de ce qui agit avec force ». Une définition intéressante revient à Yves Michaud (1978), « il y a violence quand, dans une situation d’interaction, un ou plusieurs acteurs agissent de manière directe ou indirecte, en portant atteinte à un ou plusieurs autres, à des degrés variables, soit dans leur intégrité physique, soit dans leur intégrité morale, soit dans leurs possessions, soit dans leurs participations symboliques et culturelles ».Cette définition s’attache à la violence dans sa dimension relationnelle et du point de vue de la victime. Il est un point central à dénoter à ce stade : aucune des deux définitions ne s’appuie sur l’intentionnalité du sujet violent. Pour reprendre Sophie Barthélémy, « Lorsque le sujet a du mal à donner du sens à ce qu’il vit, la qualité de la relation à l’autre est touchée. La Violence fondamentale (Bergeret, 1984) peut alors être mise en acte ». La violence fondamentale c’est la force de vie, voire de survie, dans son expression défensive la plus archaïque, la moins sublimée, au décours d’un péril narcissique envahissant. La violence c’est le retour à « lui ou moi » pour l’existence. Cette notion sera reprise en abordant les conflits à l’aune de l’attachement.
« Agressivité » : résulte de la combinaison secondaire entre dynamismes violents normaux et dynamismes érotiques (Morasz, 2002) (comprendre ici : dynamisme de plaisir). On observe parfois une érotisation agressive de la violence fondamentale qui survient en réponse à une faiblesse narcissique préalable et qui entraîne de façon privilégiée le sujet vers des pulsions destructrices (plaisir de et dans la violence); citons les structures perverses, rares au demeurant. Si la violence ne présente aucune intention de nuire, l’agressivité, aux prises avec l’amour et la haine, concerne un objet nettement identifié et s’articule avec un relatif sentiment de satisfaction et parfois de la culpabilité. L’agressivité est donc davantage secondarisée et inscrite dans un certain degré d’intégration de l’ambivalence affective, contrairement à la violence qui est plus une réaction automatique destinée à diminuer une angoisse de destruction par l’autre.

A présent, comment comprendre la survenue d'un mouvement violent au sein du couple, à travers la théorie de l'attachement ?

L'attachement est une théorie des relations interpersonnelles, issue de l'éthologie animale et explorée secondairement dans le champ de la psychologie humaine.
Elle propose une hypothèse biopsychosociale selon laquelle le rôle premier de la figure d'attachement (mère, père, tuteur...) serait d'apaiser le sentiment d'angoisse de l'enfant en le protégeant, permettant ensuite à ce dernier d'explorer son environnement, de manière apaisée.
Ainsi, schématiquement, lorsque le bébé est en danger (menace d'une séparation avec la FA = danger face a d'éventuels prédateurs), la FA va apaiser le bébé (carrying, contact peau a peau, réponses verbales et non verbales). Une fois que le bébé est apaisé il peut retourner explorer son environnement (jouer, se construire...).
Cette étape se fait essentiellement de la naissance à 5 ans. Elle va inscrire dans le cerveau du bébé un modèle d'interaction entre lui et le mode sur des variables que sont : la confiance en l'autre (pour être disponible en cas de besoin) et l'estime de soi (être digne d’être aimé). Ces représentations se fondent donc sur un ensemble d'expériences précoces, interagissant avec un bébé au code génétique unique et donc aux besoins singuliers.

Plus tard, ces représentations conditionnent notre rapport au monde et au aux autres en terme : d'attentes, de besoins, de lecture émotionnelle des situations, de pattern relationnels... C'est à dire qu'elles définissent qui nous sommes dans des aspects très diffus de notre personnalité.

Lorsque la FA s'est montré suffisamment disponible, rassurante, et que le bébé a réussi à se satisfaire en terme affectif et anxiolytique, il est capable de développer un attachement dit "sécure": "les autres sont fiables et je n'ai pas de raison de m'inquiéter car je vaux suffisamment pour intéresser les autres". Cela les rends flexibles dans leurs relations, aptes à entendre leurs besoins, les communiquer tout en s'adaptant aux attentes et besoins de leurs interlocuteurs. Cela représente 40% de la population.

Néanmoins, il arrive que les représentations marquantes soient plus négatives. Des relations difficiles, des événements de vies, un environnement délétère, a cheval sur une susceptibilité génétique, favorisent un attachement dit "insécure".
On retrouve classiquement 2 types d'attachements insécures : les anxieux-ambivalents et les évitants.
Les premiers se caractérisent par des patterns de dépendance affective, de crainte du rejet continue, de quête de proximité émotionnelle. En cas de menace de séparation, ils réagissent en "hyperactivation". C'est à dire qu'il mobilise la FA par des plaintes intenses et répétées. Ils peuvent devenir agressif, s'impatienter, pour obtenir l'attention souhaiter. Pour eux, la confiance en l'autre comme source d'apaisement est démesurée mais la certitude concernant leur disponibilité est altérée. Leur estime d'eux même les amène a douter de leur valeur et donc de leur attrait aux yeux de la FA. Ils sont si préoccupés par leurs besoins qu'ils ne peuvent pas faire de place à ceux de l'autre. Ils représentent 20% de la population.
Le deuxième groupe, les évitants, se présentent comme des personnes indépendantes, limitant l'accès à leurs émotions et le rapprochement trop intime. Ils craignent une perte de leur autonomie s'ils se laissent aller à une relation de dépendance affective.
En cas de menace de séparation avec la figure d'attachement, ils fuient. Ils ont appris que l'autre (le modèle de l'autre) n'est pas fiable. Ils apprennent a ne compter que sur eux. En trompe l'oeil, une bonne estime d'eux même leur permet d'évoluer en cavalier seul, sans chercher de soutien lors des difficultés. En réalité, la crainte de vivre l'abandon est inacceptable et ils inhibent toutes les émotions en lien. Ils négligent leurs besoins et leurs attentes en terme d'attachement et ne peuvent se confronter aux besoins de l'autre dans une relation intime, car cela les amènerait a se mettre en danger. Ils représentent environ 20% de la population.
Une dernière population (1%), représente l'attachement désorganisé. Une forme très insécure d'attachement oscillant entre les deux premières avec une altération massive de l'estime de soi et de la confiance en les autres.

Au sein des relations amoureuses, Mikulincer et Shaver, ont démontré que les comportements d'attachement étaient réactivés. Le partenaire romantique représente une FA de substitution. Ces relations sont l'occasion de revivre les expériences d'attachement précoces et entrainent donc une réactualisation de certaines difficultés antérieures.

Qu'en est-il donc, du lien entre insécurité d'attachement et violences conjugales ?

Une littérature abondante suggère une imputabilité des attachements les plus insécures (notamment désorganisés) dans les violences conjugales.

Une étude s'est intéressée aux "mismatch" des insécurités d'attachement favorisant les violences dans les couples femme anxieuse-ambivalente et homme évitant. Une autre suggère qu'il s'agit d'une inadéquation entre les besoins respectifs de distance et de proximité.

Les attachements désorganisés étant le fruit d'histoires de vie souvent chaotiques, marquées par de la maltraitance (physique, psychologique, sexuelle) ou de la négligence, la tendance à perpétrer des actes violent s'étend au-delà du trouble de l'attachement, et ne sont pas l'objet de cette note. En effet, la co-morbidité commune avec d'autres troubles de la personnalité nécessiterait une lecture approfondie à part entière. Leur importance statistique est néanmoins majeure, et cette population du fait des co-morbidités psychiatriques plus sévères est responsable des passage a l'acte les plus sévères et récurrents.

Ce que l'on va illustrer ici, c'est le basculement dans la violence qui peut survenir en l'absence de pathologie psychiatrie (les troubles de l'attachement étant considérés comme des facteurs de risque mais pas des pathologies, à l'inverse des troubles de la personnalité, plus marqués).

Une vignette clinique illustratrice est celle concernant le couple de l'homme évitant et la femme anxieuse-ambivalente (statistiquement majoritaire). On retrouve régulièrement des récits de femme rapportant une altercation avec leur époux ayant provoqué des passages à l'acte hétéro-agressif de ce dernier. Elles rapportent qu’elles ne comprennent pas, que leur partenaire est d'habitude quelqu'un de calme. L'homme est souvent dans une culpabilité immédiate, mais la scène peut être amenée à se reproduire.

Quelle lecture la théorie de l'attachement nous offre-t-elle ?

Ces situations sont souvent imputables à des conflits interpersonnels qui animent le couple, au sein desquels l'asymétrie entre les besoins (notamment de proximité et de distance) de chaque protagoniste se trouve à son paroxysme.
Alors que l'anxieux-ambivalent dans un sentiment de menace de rupture réelle ou symbolique (rupture réactivant des angoisses très archaïques de perte de protection et de danger de mort)  a appris à hyperactiver sa demande pour parvenir à une proximité rassurante, l'évitant, lui, a besoin de se protéger en éteignant toute information relative à la rupture (et les émotions inhérentes) et à fuir.

Dans une situation d'impasse au sein de la discussion, ces deux besoins, très archaïques, échappent au contrôle méta-cognitif (c'est à dire a la contextualisation de la situation et la relecture des émotions de soi et de l'autre) et entraînent des réactions de survivance. Les mots n'existent plus et les gestes prennent le relais. L'un comme l'autre, peuvent se montrer violent, dans une logique de soulager l'angoisse qui les anime (sous couvert d'un vécu de colère).
On retrouve alors des débordements pulsionnels ayant pour but non pas la violence-plaisir mais la violence-protection.

On perçoit alors qu'il est crucial sur le plan thérapeutique d'apprendre aux membres du couple a revisiter leur représentations, en lien avec le passé, afin de pouvoir modifier leur régulation émotionnelle (hyper-activation vs suppression) et enfin de pouvoir revoir leurs modalités de communications.

En conclusion, la violence est un symptôme au sein d'un système qu'est le couple. Cette violence qui doit toujours alerter, ne doit pas faire oublier l'analyse des mécanismes qui la sous-tendent : Quelle maladie habite le couple ? Ces quelques lignes ont pour but d'attirer l'attention sur une dimension bilatérale, interactionnelle, de la violence conjugale. Elles ne résument pas les violences faites aux femmes au sein du couple; elles tendent à décentrer l'attention de l'agressivité pathologique d'un des membres, vers une vision plus intégrative du contexte relationnel et du rôle de la violence-protection et non de violence-destruction au sens de l'intentionnalité (inconsciente et impulsive).


Lorsque les mots ne suffisent plus

Miga EM, et al. Attach Hum Dev. 2010
Marcus RF. Violence Vict. 2012
Schneider C, et al. J Marital Fam Ther. 2014
West M, et al. Attach Hum Dev. 1999.
McClellan AC, et al. J Nurs Scholarsh. 2000.

Doumas DM, et al. J Interpers Violence. 2008.