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samedi 29 octobre 2022

Collège Du Lherm - Jeudi 3 Novembre - Est-ce que les filles et les garçons sont déjà égaux et les autres ?

Et les autres ?

Alors que les femmes travaillent à obtenir une considération égale à celle des hommes, des être humains déclarent ne plus se reconnaitre  basiquement "homme ou femme". L'égalité homme-femme les exclut-elle encore d'avantage ou est-ce le même combat ?

Ce débat doit il s'étendre systématiquement aux LGBT ou au contraire devons nous séparer les choses pour pouvoir avancer. Par exemple, les politiques de parité dans les élections doivent être revues, élargies ou abandonnées?

Les LGBT aide-t-il la cause féministe ou brouillent-t-iels les cartes et les repères faisant alors malgré eux le jeu des conservateurs. Si les luttes contre les discriminations homophobes et sexistes se rejoignent dès qu’il s’agit de refuser le modèle de société actuel pensé et construit pour le mâle (blanc) supradominant. 

Pouvons nous convenir qu'il est plus difficile d'effectuer des actions passant par la modélisation des personnes, comme les lois sur la parité. Il est aussi plus difficile (voir illégal)  d'effectuer des statistiques sur des population dont la déclaration de sentiment d'appartenance à un  groupe est protégé par les lois sur le respect de la vie privé (RGDP) et quelle est la valeur légale d'un sentiment d'appartenance?

On peu aussi se poser la question sur ce qui peut apparaître comme plus généralement le remplacement du sexe par le genre. Si cette proposition est soutenable dans un droit individuel, elle n'a aucun sens scientifique dans un domaine ou le corps d'une femme et celui d'un homme ne sont pas identique. Loi et science  doivent-ils s'ignorer? Doit-on préfixé chaque mot pouvant donner lieu à contresens d'un terme legal ou scientifique pour savoir de quoi l'on parle comme dans l'usage de Mère biologique, Mère  porteuse ou mère adoptive. Le mot maman ne pouvant alors être utilisé que dans le domaine de l'intime.

Bref : la complexité amenée par cette question du genre est-elle finalement un frein à l'égalité de chacun ou une aide ? 

Ref : 

 


Ecole Maternele de Noé - jeudi 3 Novembre 2022 -

Atelier du 3 novembre 2022

Atelier  conçue par Jean-Charles Pettier, docteur en sciences de l’éducation et en philosophie, professeur à l’IUFM de Créteil.

Les objectifs

✔ Décrire une variété d’exemples de situations de sa vie quotidienne où il se sépare de ses parents ;
✔  Décrire d’autres situations où il se sépare d’autres personnes (plus ou moins proches «affectivement») ;
✔  Élargir le propos en évoquant des séparations où il peut n’être concerné que par conséquence (des proches de l’enfant se séparent), voire n’être que spectateur ;
✔  En préciser les raisons et les circonstances, notamment en identifiant des séparations brèves, d’autres plus longues, des séparations «désirées», voire voulues et attendues, ou pas (par exemple, quand on est avec des gens que l’on n’aime pas), des séparations correspondant ou pas à la perte d’amour, notamment à son égard ;
✔  Problématiser les différentes séparations évoquées, en s’interrogeant sur leur nécessité, parfois en regard de leur durée (se séparer plus longtemps ou plus souvent qu’il ne serait nécessaire) ;
✔  Identifier la particularité de la séparation «scolaire» en étant amené à préciser ce que l’on vient faire à l’école. Pouvoir faire correspondre la séparation «scolaire», le fait de grandir et la nécessité d’apprendre ;
✔  Identifier éventuellement une séparation plus «définitive», la mort, pour pouvoir préciser, par comparaison, le statut plus ou moins temporaire des autres séparations («ce n’est pas pour toujours») ;
✔  Décrire son «ressenti» lors de ces situations différentes : comment cela fait «dans sa tête» et «dans son cœur», lors de la séparation (éventuellement : avant, pendant et après) ;
✔  Identifier ce qui aide à supporter les différentes séparations : l’habitude, la confiance en la parole donnée («je reviens tout à l’heure»), le doudou... ;
✔  Décrire la fin de la séparation, les retrouvailles (en différenciant à nouveau les retrouvailles attendues et désirées, d’autres types de craintes

Ref :

mercredi 19 octobre 2022

20 Octobre 2022 - Collège du Lherm - Pourquoi se traite-t-on?

 


Ce que nous appelons nous adulte, "La micro violence" est faîte d'injures, de bousculades, de regards menaçants qui n'en sont pas moins tout au long d'une adolescence, un moyen de briser les individus.

Pas assez caractérisé pour faire l'objet d'une punition ou d'un signalement aux parents, pas assez répétitif pour être classé "Harcèlement" , ce qui est quand un adulte le voit, immédiatement typé comme "Mais, Monsieur ou Madame, on s'amuse !" n'en est pas moins une source de stress pour les victimes, les spectateurs et peut-être même les auteurs. 

Mais pourquoi ? Pourquoi tant de haine ?

Court-Métrage Violence Scolaire [Collège Leï Garrus]